Salle de repos

Sur les milliers de personnes au début, il ne devait en rester qu'une centaine, tout au plus. Elles peuplaient la grande salle. Au fond se trouvait, comme au rez-de-chaussé, une grande porte, et deux petites à côté. Au sol, du carlage blanc et bleu, et sur les murs, un horrible papier-peint violet. Dans la partie gauche, il y avait une multitude de fauteuils et de canapés, des tables et des chaises, et même quelques lits, ainsi que de nombreux placards au coutenu multiple, des vêtements aux flingues, en passant par diverses armes blanches, des cigarettes, des trousses de soins et des jeux de cartes. Et encore d'autres choses... La partie droite de la pièce était séparée par une cloison. En effet, il y avait divers compartiments avec des salles d'eaux, pour se rafraichir.

Les plus fatigués se jetaient sans hésitation sur les lits, d'autres cherchaient en priorité un moyen de se soigner, d'autre en profitait pour aller prendre une douche, tandis que les plus téméraires tentaient d'enfoncer les portes. La grande de bougea pas d'un poil, la petite à gauche non plus. Par contre, celle de droite s'ouvrir facilement -elle n'était pas fermée- sur une salle noire. La même salle noire qu'au rez-de-chaussé. Quelqu'un entra, d'autres tentèrent de le suivre mais une femme saine d'esprit les arrêta, rappelant que ceux qui y étaient entrés n'en ressortait pas. Et effectivement, l'homme entré ne revenait pas. Ils s'éloignèrent, vacants à d'autres occupations.

Xavier entra dans la pièce et fut frappé, outre par l'affreux papier-peint, par le confort de cette salle. Ils étaient à la frontière de la mort il y a à peine quelles minutes et ils se trouvaient désormais bichonnés. Xavier trouvait ça louche, très louche. Oh et après tout, que pouvait-il y faire ? Il mâchouillait son crayon, et s'appuya contre un mur près de l'entrée. Maintenant, il fallait juste attendre que cette porte au fond s'ouvre. Il se souvint que la porte s'était ouverte quand l'écran s'était allumé. Et l'écran s'était allumé quand tout le monde était réveillé. Y avait-il un rapport ? Xavier en était sûr à 70%. Peut-être fallait-il attendre que tout le monde soit dans la salle ? Xavier méditait...

Videicho était monté parmi les premiers, avait réussi à survivre en perdant un bout de son manteau (la chance), avait récupéré un beretta chargé jusqu'à la gueule et une machette. Maintenant, il cherchait qui avait tué le chef de meute pour essayer de rester avec le plus fort, ou le plus chanceux...
Par un total hasard, Videicho se retrouva à coté de Xavier, il s'appuya contre le mur (près de l'intellectuel par un grand hasard), et poussa un soupir. Il lui adressa ensuite la parole.

Eh, vous savez qui a buté le gros truc de la salle d'avant ?

Xavier se tourna vers l'homme qui lui parlait. Il avait l'air d'un bourrin, et Xavier sedit que ce n'était pas étonnant qu'il avait survécu au "massacre".

Oui. Je ne connais pas son nom, mais il devrait arriver, accompagné par des jumeaux et un type aux cheveux violets.

Il avait dit ça d'un ton calme, posé. Il se souvint alors, tout en mâchouillant son crayon, que le gros bourrin lui avait pris son trophée. Il allait lui réclamer quand il le reverrait.

Un coup de feu retentit dans la salle. Un homme venait d'en tuer un autre. Les personnes aux alentours se couchaient au sol ou se cachaient derrière les canapés. Des cris retentissaient. Certaines personnes se précipitaient hors de salle d'eau pour savoir ce qui se passait, d'autres se précipitaient hors de la salle de repos pour s'enfuir.
Le fou furieux qui avait fligué le type partit dans un rire "Bwahahaha !" et déclara à tous qu'il allait tous les tuer et qu'il serait le seul à pouvoir sortir de la tour.
Sur ceux, il tira sur une femme qui mourra sur le coup.

Videicho poussa un juron et laissa tomber sa machette pour armer son pistolet. Il ne sentait pas du tout la situation... Vu qu'aucun autre plan lui venait en tête que faire sauter la cervelle de l'homme, il préféra demander à Xavier, il n'avait apparemment pas l'air con.

Dites moi... Vous auriez pas une solution moins brutale que celle que j'ai dans les mains pour ce type ?

Océane était assise dans un coin depuis qu'ils étaient rentrés dans cette salle, elle préferait rester seule après les evenements récents, interieurement choquée elle se demandait ce qu'elle avait pu bien faire pour se retrouver là. Le papier peint etait d'un violet immonde.
C'est la seule chose qu'elle pensait à présent. Quand l'esprit est choqué, il essaye de se rattacher à des détails insignifiants, comme pour essayer d'oublier, comme quand on regarde dans le vague après une peine de coeur.
D'un coup, un coup de feu retentit, une personne tomba près d'elle. Une de plus. Un autre coup de feu, encore une vie qui s'eteint. Mais qu'est-ce que la vie dans un endroit pareil? C'est plus une survie qu'une vie à proprement parler.
Un autre homme tira sur le premier, faisant un trou bien net dans la tête, un joli trou, d'un joli rouge.

Océane se leva lentement, alla près de l'homme, lui pris le pouls. Inexistant.

Il est mort

La vue du sang ne lui faisait pas grand chose dans son état second. Elle alla s'approcher de l'homme qui avait tiré.

Le papier peint est affreux, vous ne trouvez pas monsieur?

Videicho poussa un juron. Comment cette... espèce d'ado avait eu la sombre idée de poser cette question conne ? Elle voulait se faire tuer ? Pas question qu'il ne réagisse pas ! Il leva son beretta et cria :

Barre toi de la, abrutie !

Il tira ensuite six balles sur le psychopathe. Il était sûr qu'au moins deux avaient atteint leur cible, quant au reste...

Xavier avait lache son crayon sous le coup de la surprise. Le psychopathe s'en ete recue deux dans le bras droit et les autres balles avaient laisses des trous dans le mur derriere lui. Il pointait son flingue en direction de Videicho et Xavier. D'un geste vague de la main, Xavier indiqua à Videicho de baisser son arme. Il s'approcha de l'homme d'un pas lent et d'un air calme. Il s'arrêta à 5m de lui.

Voyons, calmez-vous jeune homme.

Mais Xavier remarqua bien qur l'homme n'etait pas pres de cooperer. Il deglutit et se baissa rapidement pour eviter une balle. Il se tourna vers Videicho.

Il n'y a pas d'autre moyen ! cria Xavier. Finissez-le !

Ce message a été posté du Japon (osef).

Videicho fit un sourire rapace et eu un léger rire.

A vos ordres, chef !

Et il vida son chargeur sur l'homme.

[mais c'est qu'il est super ce message...]

L'homme fut troué de part en part et tomba raide mort au sol. Une flaque rouge s'étendait tout autour de son corps. Les gens près de lui reculaient, dégoutés.

[Très court, mais important (wah l'excuse !)]

Kojiro entra d'un air nonchalan. Il était accompagné du héro de la dernière épreuve et des jumeaux énervant. Il ne fut pas surprit de voir deux cadavres, par contre il fut surprit de voir qu'il n'y avait pas d'épreuve, Malgrès sa surprise, son visage resta impassible comme si il était gravé dans du marbre, Il se demanda ce qui c'était passé, Il enleva la cigarette non alumer de sa bouche pour ranger mais il a resortit derechef car il réflichissait mieux avec une clope dans la bouche, Il voyait un homme avec un pistolet à côté d'un cadavre, A côté de cet homme, il y avait le comparse des jumeaux et une fille, Il s'approcha d'eux,

Qu'es-ce qui c'est passé?dit-il d'un ton neutre, C'està ce moment là qu'il remarqua qu'un des cadavres était une femme, Comment pouvait-on faire du mal à une créature aussi pure? se demanda-t-il intérieurement

Xavier fit une grimace en voyant s'écouler le sang. Il se releva et examina le cadavre d'un oeil vif. Rien de spécial.

Bien joué, dit-il à l'attention de Videicho. Sans vous, on se serait tous fait tuer.

Il regardait autour de lui. L'ambience était tendue, mais les gens commençaient à se décontracter maintenant que le mal avait été éradiqué. Xavier s'approcha de la jeune fille près de Videicho.

Est-ce que tout va bien ? demanda-t-il.

Sans même entendre, ni attendre la réponse, il se retourna en entendant une voix. C'était le type à la clope avec ses cheveux violets.

Il y a eut une légère... altercation, répondit-il d'un air calme en levant le sourcil droit.

Joshua entra à son tour dans la pièce. Il sentit tout de suite l'odeur de sang et de poudre. Il s'avança inconsiemment vers Videicho. C'est arrivé près de lui qu'il aperçu le cadavre ensanglanté d'un type. Joshua fit une drôle de moue.

Ya eut du grabuge on dirait, dit-il à l'attention de Videicho.

Il se passa la main dans les cheveux d'un geste nonchalant.

Videicho regarda le nouveau venu en se disant qu'il lui était familier... Oah, encore son esprit qui lui jouait des tours, sans doute.

Ouais, un gars qu'est devenu complètement taré. J'ai utilisé des arguments plombés pour qu'il se taise.

Videicho se dit que, quand même, il aurait pu éviter de sortir cette phrase absolument horrible et sortie tout droit d'un Hollywood... Peut mieux faire...

Euh, sinon... Z'êtes qui, vous ? Dit-il tout en cherchant du regard l'adolescente qui avait essayé de parler avec l'homme.

Cornelia s'avança d'un pas lent vers l'homme qui avait flingué le malade. Elle tenait son club de golf sur son épaule, un peu comme elle aurait tenu une ombrelle. Elle s'approcha tout près de lui, dans son dos.

Joli coup. Je n'ai même pas eut le temps de réagir, murmura-t-elle tout près de son oreille.

Il eut un petit rire discret, puis tourna la tête vers le bourrin aux lunettes.

Joli coup aussi. Avoir réussi à descendre cette monstruosité était un tour de force. Vous êtes notre sauveur.

Sa voix était douce et langoureuse, presque manipulatrice.

Videicho pensa tout de suite que c'était le genre de femme qui arrive toujours à ses fins. Avec ou sans club de golf dans la gueule. Il la regarda du coin de l'œil avant de s'intéresser au grand massif... Une belle pièce de viande...

Alors c'est vous, pour la grosse bête de tout à l'heure ? Je suis scié, c'était beau.

Et il ne prêta pas attention à la nouvelle venue, histoire de voir ce qu'elle ferait

Kojiro écoutait la discution avec une certaine attention. Ils l'avaient enfin reconnue. Ils ont mis du temps. Il regarda le gars au flingue. L'avoir dans ces relations peut être décisif. En effet, le mec possède un flingue et ça c'est pas rien. De plus, si Kojiro avait bien compris l'homme avait agis vite et bien ce qui est très interessant. Et puis, il avait sortit une phrase qu'avait fait sourir Kojiro. Des arguments plombé... Quel cynisme! Après Kojiro regarda la femme. Bien qu'elle était plus vieille que lui, elle était belle. Enfin assez pour attirer son attention. Là d'où il venait, toutes les filles étaient à ses pieds mais là peut être que ça seras plus interessant.

Vous avez pensé a fouiller le corp? Il pourrait avoir des objets interessantdit-il en s'avançant près de Joshua, son seul allié pour l'instant.

Sinon, vous êtes qui?

Moi c'est Joshua, répondit-il à Videicho.

Il était sur le point de poser une question quand la femme aux cheveux roses se mit à complimenter Joshua. Il rougit un peu. Les compliements, il n'aimait pas trop ça et n'avait pas l'habitude d'en recevoir. Surtout venant d'une femme. Joshua marmonna un vague "Merci", puis se tourna vers Videicho.

J'ai pas réussi tout seul. Ya le type aux cheveux violets, les jumeaux et le blondinet qui m'ont aidés, dit-il avec un sourire franc.

Il se tourna vers le violetin.

Fouiller le corps ? Mwais, moi j'ai pas envie de me salir les mains si vous voulez tout savoir.

Il se passa la main dans les cheveux d'un geste nonchalant.

Cornelia eut un petit sourire en voyant la réaction dudit Joshua. Elle avait trouvé un point faible. C'était bien ça. Quand à l'autre... était-il en train d'ignorer Cornelia ? Hum... il ne se laisserait pas avoir facilement. Elle attendrait, il se manifesterait bien à un moment ou un autre. Elle se tourna vers le nouveau venu, aux cheveux violets. Elle remarqua qu'il la regardait. Elle lui sourit.

Je pense qu'il y a plus interressant dans les placards de la pièce, mais l'on peut toujours vérifier, au cas où.

Cornelia tourna le dos aux hommes pour s'approcher du corps ensanglanté. Elle mit un genou à terre, s'appuyant sur son club de golf. Elle examina la chemise de l'homme. Il y avait cinq jolis trous. Aucuns de ceux-là avaient causé la mort de l'homme. C'était celui au milieu du front qui l'avait descendu. Elle posa son club de golf devant ses genoux et attrapa à deux mains la chemise de l'homme, qu'elle déchira d'un coup sec. Le sang de l'homme empreigna ses jolis doigts. Elle trouva une poche intérieur et fouilla. Il n'y trouva qu'une chaîne avec une croix chrétienne. Rien d'autre à ce niveau. Elle fouilla les poches du jean et récupéra les cartouches de son flingue, une carte d'identité et un stylo bic noir. Elle jeta un coup d'oeil au reste du corps, mais à part une paire de basket un peu pourrie, il n'y avait rien d'autre à récupérer. Elle attrapa son club de golf et se releva. Elle se retourna et s'approcha du violetin. Elle lui tendit la main gauche dans laquelle se trouvait la carte d'identité, le stylo bic, la chaîne et quelques cartouches. Elle ne dit rien de plus : il n'avait rien à dire.

Kojiro donait l'air blasé malgrès que son visage reste impassible. Il était plus déçus que blasé de la vie mais bon. Quand même quand on fout le bordel on a au moins la classe et la politesse d'avoir quelque chose dans ses poches. Une cart d'identité, ridicule. Un stylo, inutile enfin pour l'instant. Il prit le stylo dans le main de la femme. Il prit ce réservoir à encre d'une façon très douce mais très sur. Il sentit un peu le grain de la peau de la femme. Il leva le stylo et le regarda. Franchement, rien. Un simple stulo banal. Pas de quoi fouetter un jumeau. Il le rangea dans sa poche. Avec un regard dénuer de sentiment, il examina toute les personnes à côté de lui.

Il reste plus que les placards.Il allait ouvrir un placard mais avant de le faire, il se retourna et dit a Joshua.Je m'appelle Kojiro. J'aime pas qu'on m'appelle par la couleur de mes cheuveux.Il avait dit d'un ton très doux encore.]Puis après il se dirigeat vers un placard et l'ouvrit.

Blondinet ? C'est qu'il était limité le Joshua. Xavier ramassa son crayon et se remit à le mâchouiller. Il retourna s'appuyer contre le mur et observa le groupe. Une nouvelle personne était entrée en scène. Elle avait du cran, et des arguments frappants, tel qu'un club de golf. Il fallait rester prudent. Xavier fixa du regard Kojiro s'en aller vers un des placards. Ensuite, il le laissa tranquille et plongea dans ses réflexions intérieures. "Mais qu'est-ce qu'on fout ici ?" fut sa première question. Suivit par "Comment sommes-nous arrivés ici ?", "Qui est le type au 'niéhéhé' ?" et "Quand est-ce que cette foutue porte va s'ouvrir ?". Puis... "Qu'y a-t-il dans cette pièce noire ?". En y pensant, Xavier fut pris par l'irrémédiable envie de s'en approcher. Il marcha lentement, à la façon d'un automate, vers la petite porte. Il sortit la main droite de sa poche et caressa doucement la porte. Il ne l'ouvrit pas. Il l'examina.

Bordel! C'était le mot. Deux morts, de l'agitation, et une nouvelle tête, féminine cette fois, se fit remarquer. N'ayant absolument rien à foutre des cadavres, des circonstances, et de tout le reste, Jordan se concentra sur une analyse rapide de la nouvelle venue. Jeff lui ne put s'empêcher d'avoir un rire léger. On aurait dit qu'elle tentait de se mettre dans la poches les deux personnes les plus importantes du groupe, et ce en passant par la séduction. Aucune chance que cela fonctionne avec les jumeaux, pour deux bonnes raisons que nous tairons pour le moment.

Et mainteant, séance d'armement! Jeff et Jordan ouvrirent un placard et y découvrirent pas mal de choses intéressante. Dans celui là, il y avait des guns. Ils en prirent un chacun, et le maximum de munitions possible. Voyant leurs poches rapidement remplies, ils prirent un canif et trouèrent leurs poches droites. Ainsi, il pouvait remplir la doublure de leurs vestes. Très utile. Ils se dirigèrent ensuite vers un autre armoire. Elle contenait des armes blanches et... des clopes. Jeff en prit un paquet, juste au cas ou, ainsi que deux katanas. Il en tendit un à son frère qui avait ouvert un troisième placard, remplis de vêtements. Ils se mirent à part dans un coin de la pièce, et Jeff dis à l'intention de Joshua

- Il y a des vêtements la bas, et des choses plus intéressantes à coté.

Jeff et son frère avaient bien entendu été discrets en prenant les armes à feu. Il fallait garder ses atouts au cas ou, même s'il suffisait de s'appeller "le violetin" pour deviner ça. Enfin, Jeff ayant pratiqué le kendo longtemps, lui et son frère se mirent à s'entrainer.

Cornelia regarda Kojiro prendre le stylo, et le laissa s'en aller vers les placards. Elle examina la carte d'identité. Lazare Bridger. Un nom inconnu pour elle. Cornelia s'approcha de l'homme qui avait flingué le type. Elle se tenait tout près de lui et lui tendit sa main gauche. Il restait la carte d'identité, la chaîne, et bien en évidence, les cartouches.

Besoin de muntions ? demanda-t-elle d'une voix traînante avec un sourire et regard doux.

Sans même attendre de réponse, elle attrapa sa main libre avec douceur et posa les objets dans la main de l'homme. En retirant ses mains, elle frôla son bras du bout des doigts. Puis, elle se retourna, faisant virvolter ses longs cheveux et se dirigea à son tour vers les placards.

// Mais oui, il y a des katanas ^^ //

Kojiro trouva dans ce placard un pistolet. Tant mieux se dit-il. Il le prit et les balles qui vont avec. Il fouilla les autres sans allez dans ce des jumeaux. Il trouva beaucoup de vêtement et ne trouva rien d'interessant. Il se força à allez dans les placards des jumeaux et découvrit des clopes. Il len prit 3 paquets et un autre briquet. Avec ce briquet il alluma la clope qui était dans sa bouche. Il regarda partout dans la pièce. Il vit la femme donner les munitions à l'homme au flingue. Il remarqua le petit cinéma qu'elle faisait. Cela le fit sourir. Elle allait attaquer par son charme. Il vit aussi le camarade des jumeaux se dirigait vers la porte. De quoi il était capable celui-là? Kojiro avait une impression d'incompétence mais il faut se méfier des impressions. Enfin, il vit les jumeaux. Qu'es-ce qu'ils avaient prit dans les placards? Surement des armes. Allaient-ils cachaient ce qu'ils avaient prit? Il était qu'ils avaient prit quelque chose. Ils ne sont pas fou. Il se dérigea vers eux et dit
Faîtes attention à votre camarade. Il risque de faire une connerie.Puis il partit. Il se mit à côté de Joshua.